Le Portugal et les Portugais nous ont accueillis. Je dis "accueillis" car s'il y a un peuple chaleureux, c'est bien celui de Lusitanie!
A chaque pas, dans la ville de Peniche, les portugais, en particulier les femmes nous arrêtent. J'ai cru un temps que c'était pour mon charme, mais rapidement, j'ai compris qu'une famille nombreuse les ravissait. Les vieilles dames, habillées de noir, comme de coutume, comptent à notre passage les enfants et nous demandent d'un signe circulaire suivi de deux doigts pointés vers Emmanuelle et moi s'ils sont tous à nous. Notre niveau de portugais limite malheureusement nos échanges à quelques sourires et signes de la main. La chaluer est malgré tout communicative.
Nous restons au port trois jours, profitant du Wifi dans un bar et du marché couvert aux prix dérisoires (un rêve! des étalages de poissons à faire pâlir les halles dijonnaises!) et de plages superbes où les surfeurs s'en donnent à coeur joie.
La ville est un doux mélange de port de pêche à l'activité conséquente et de toursime. Nous avons la chance d'être déjà hors saison.
Nous quittons le continent pour une navigation de trois jours, direction l'archipel de Madère. La mer est forte, avec une houle croisée (houps! pas top pour le mal de mer) et un vent de 30 noeuds établi avec pointe à 45 pour la 2nde nuit. Que du bonheur!
Après finalement seulement 56 heures, et 570, miles, nous mouillons dans la baie de Porto Santo. Sable fin, cactus, eau limpide à 24 d°, ... bref nous avons la récompense de la traversée.
A chaque pas, dans la ville de Peniche, les portugais, en particulier les femmes nous arrêtent. J'ai cru un temps que c'était pour mon charme, mais rapidement, j'ai compris qu'une famille nombreuse les ravissait. Les vieilles dames, habillées de noir, comme de coutume, comptent à notre passage les enfants et nous demandent d'un signe circulaire suivi de deux doigts pointés vers Emmanuelle et moi s'ils sont tous à nous. Notre niveau de portugais limite malheureusement nos échanges à quelques sourires et signes de la main. La chaluer est malgré tout communicative.
Nous restons au port trois jours, profitant du Wifi dans un bar et du marché couvert aux prix dérisoires (un rêve! des étalages de poissons à faire pâlir les halles dijonnaises!) et de plages superbes où les surfeurs s'en donnent à coeur joie.
La ville est un doux mélange de port de pêche à l'activité conséquente et de toursime. Nous avons la chance d'être déjà hors saison.
Nous quittons le continent pour une navigation de trois jours, direction l'archipel de Madère. La mer est forte, avec une houle croisée (houps! pas top pour le mal de mer) et un vent de 30 noeuds établi avec pointe à 45 pour la 2nde nuit. Que du bonheur!
Après finalement seulement 56 heures, et 570, miles, nous mouillons dans la baie de Porto Santo. Sable fin, cactus, eau limpide à 24 d°, ... bref nous avons la récompense de la traversée.
2 commentaires:
Coucou
J'espère que vous allez tous très bien et que votre voyage se poursuit comme vous le voulez.
Claire,Come et Sophie: j'espère que vous ne travaillez pas trop quand même !
Philibert,Clotaire, Anne, Emilie : Vous êtes très mignons quand vous travaillez !!
Je vous embrasse tous bien fort
Justine
PS: J'aime beaucoup vos vidéos !!!
Comme c'est agréable de pouvoir suivre votre voyage. Ici nous sommes tous derrière l'ordinateur pour partager avec vous ces quelques videos qui nous ravissent.
Les journées semblent bien rythmées, Manu ton nouveau job d'instit te va très bien, pour toi Jêrome ta reconversion en prof de gym est toute trouvée...
On vous embrasse tous les rouxf
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