Nous voici en Galice! Nous mouillons à Carino, dans le Golfe de Santa Marta, après 36 heures de navigation dans des conditions de vent et de mer raisonnables (pour le golfe de Gascogne s'entend!).
Emmanuelle, Clotaire, Anne et Emilie partagent, en compagnons du mal de mer, la même cabine. La position allongée leur convient particulièrement bien! Michel, notre skipper, et Jérôme se partagent les quarts, pour ces premières navigations (il faudra penser à une meilleure répartition du sommeil!).
Ballade autour du cap dans les forêts d'eucaliptus (voir la vidéo su rle blog), et découverte d'un mode de sépulture sensiblement différent de nos cimetières français.
Après deux jours, nous reprenons la mer pour Lisbonne ou l'île de madère; ce seront les vents qui décideront... Et oui, nous apprenons à partager nos décisions avec Eole! Un grand apprentissage pour les enfants qui découvrent que l'on peut ne pas tout maitriser.
Le passage du cap Finistère espagnol est extraordinaire? Nous battons notre précédent record, avec une pointe à 23,9 noeuds! La mer est agitée et le passage de ce cap sous la pleine lune et une nuit étoilée est mythique. Que du bonheur! (enfin pour ceux qui veillent..)
Une fois le cap passé, la mer mollit jusqu'à devenir d'huile. Le soleil resplendit toute la journée et nous bronzons à l'avant du bateau. Cette baisse de vitesse nous permet de mouiller enfin une traîne. Nous sortons trois petits thons rouges (des bonites) qui ont la bonne idée de se prendre à l'hameçon à 12H30, juste pour l'apéro. Je lève les filets et les prépare en carpaccio, avec huile d'olive, citrons et échalottes... un verre de rosé... Que demander de plus?
Le vent a décidé. Nous abordons à Peniche, à 90 miles au nord de Lisbonne. Joli port de pêche où nous trouvons enfin du wifi pour vous écrire ces quelques mots et mettre en ligne les vidéos.*
Emmanuelle, Clotaire, Anne et Emilie partagent, en compagnons du mal de mer, la même cabine. La position allongée leur convient particulièrement bien! Michel, notre skipper, et Jérôme se partagent les quarts, pour ces premières navigations (il faudra penser à une meilleure répartition du sommeil!).
Ballade autour du cap dans les forêts d'eucaliptus (voir la vidéo su rle blog), et découverte d'un mode de sépulture sensiblement différent de nos cimetières français.
Après deux jours, nous reprenons la mer pour Lisbonne ou l'île de madère; ce seront les vents qui décideront... Et oui, nous apprenons à partager nos décisions avec Eole! Un grand apprentissage pour les enfants qui découvrent que l'on peut ne pas tout maitriser.
Le passage du cap Finistère espagnol est extraordinaire? Nous battons notre précédent record, avec une pointe à 23,9 noeuds! La mer est agitée et le passage de ce cap sous la pleine lune et une nuit étoilée est mythique. Que du bonheur! (enfin pour ceux qui veillent..)
Une fois le cap passé, la mer mollit jusqu'à devenir d'huile. Le soleil resplendit toute la journée et nous bronzons à l'avant du bateau. Cette baisse de vitesse nous permet de mouiller enfin une traîne. Nous sortons trois petits thons rouges (des bonites) qui ont la bonne idée de se prendre à l'hameçon à 12H30, juste pour l'apéro. Je lève les filets et les prépare en carpaccio, avec huile d'olive, citrons et échalottes... un verre de rosé... Que demander de plus?
Le vent a décidé. Nous abordons à Peniche, à 90 miles au nord de Lisbonne. Joli port de pêche où nous trouvons enfin du wifi pour vous écrire ces quelques mots et mettre en ligne les vidéos.*